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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Le Tao the King
08/11/2005 15:22
Rien n’est plus souple et plus faible que l’eau, Mais pour enlever le dur et le fort, rien ne la surpasse et rien ne saurait la remplacer. La faiblesse a raison de la force ; la souplesse a raison de la dureté. Tout le monde le sait mais personne ne peut le mettre en pratique. Ainsi le saint a-t-il dit : « Accepter toutes les immondices du royaume, C’est être le seigneur du sol et des céréales. Accepter les maux du royaume c’est être le monarque de l’univers. Les paroles de Vérité semblent paradoxales. »
LAO TSEU "livre de la voie et de la vertu"
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Fièvre
08/11/2005 15:19
Il est un feu et une agitation secrète pour les âmes qui ne peuvent être contenues dans un cercle étroit, et qui vont toujours au-delà des bornes d'un désir modéré.
Embrasé de ce feu toujours plus difficile à éteindre, elles sont tourmentées de la soif des dangers et ne se lassent que du repos; fièvre du coeur fatale à tous ceux qu'elle dévore, à tous ceux qui en furent atteints.
BYRON
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A celle qui est voilée
08/11/2005 15:15
Tu me parles du fond d'un rêve Comme une âme parle aux vivants. Comme l'écume de la grève, Ta robe flotte dans les vents.
Je suis l'algue des flots sans nombre, Le captif du destin vainqueur ; Je suis celui que toute l'ombre Couvre sans éteindre son coeur.
Mon esprit ressemble à cette île, Et mon sort à cet océan ; Et je suis l'habitant tranquille De la foudre et de l'ouragan.
Je suis le proscrit qui se voile, Qui songe, et chante, loin du bruit, Avec la chouette et l'étoile, La sombre chanson de la nuit.
Toi, n'es-tu pas, comme moi-même, Flambeau dans ce monde âpre et vil, Ame, c'est-à-dire problème, Et femme, c'est-à-dire exil ?
Sors du nuage, ombre charmante. O fantôme, laisse-toi voir ! Sois un phare dans ma tourmente, Sois un regard dans mon ciel noir !
Cherche-moi parmi les mouettes ! Dresse un rayon sur mon récif, Et, dans mes profondeurs muettes, La blancheur de l'ange pensif !
Sois l'aile qui passe et se mêle Aux grandes vagues en courroux. Oh, viens ! tu dois être bien belle, Car ton chant lointain est bien doux ;
Car la nuit engendre l'aurore ; C'est peut-être une loi des cieux Que mon noir destin fasse éclore Ton sourire mystérieux !
Dans ce ténébreux monde où j'erre, Nous devons nous apercevoir, Toi, toute faite de lumière, Moi, tout composé de devoir !
Tu me dis de loin que tu m'aimes, Et que, la nuit, à l'horizon, Tu viens voir sur les grèves blêmes Le spectre blanc de ma maison.
Là, méditant sous le grand dôme, Près du flot sans trêve agité, Surprise de trouver l'atome Ressemblant à l'immensité,
Tu compares, sans me connaître, L'onde à l'homme, l'ombre au banni, Ma lampe étoilant ma fenêtre A l'astre étoilant l'infini !
Parfois, comme au fond d'une tombe, Je te sens sur mon front fatal, Bouche de l'Inconnu d'où tombe Le pur baiser de l'Idéal.
Victor HUGO
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Qui..
08/11/2005 15:11

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